(Stanislas Renoult/Amaury Salmon)
Notre amour, faute de combattants de guerre lasse, a déserté le camp.
Drapeau blanc, nous battons en retraite.
On se rend, on ne compte plus les pertes.
C'est la débâcle des sentiments, c'est la déroute des faux-fuyants.
Signons le pacte sans faux-semblants, on n'a plus le coeur à se battre.
C'est la débâcle des sentiments, c'est la déroute des faux-fuyants.
Signons le pacte sans faux-semblants, autant en finir sur le champ.
Nos soldats ont déposé les armes.
Les trompettes ont joué l'adieu aux larmes.
L'Armistice, on ne le fêtera pas, pas non plus l'amour mort au combat.
C'est la débâcle des sentiments, c'est la déroute des faux-fuyants.
Signons le pacte sans faux-semblants, on n'a plus le coeur à se battre.
C'est la débâcle des sentiments, c'est la déroute des faux-fuyants.
Signons le pacte sans faux-semblants, autant en finir sur le champ.
Sonnez trompettes, sonnez tambours.
Sonnez trompettes, sonnez tambours.
Trompettes, sonnez tambours, sonnez trompettes, tambours.
Sonnez, sonnez, sonnez.
C'est la débâcle des sentiments, c'est la déroute des faux-fuyants.
Signons le pacte sans faux-semblants, on n'a plus le coeur à se battre.
C'est la débâcle des sentiments, c'est la déroute des faux-fuyants.
Signons le pacte sans faux-semblants, autant en finir sur le champ.
Sur le champ, sur le champ, sur le champ.