Ardentes femmes phalliques agglutinées
Nefas attise les corps sans peine
Les têtes, pénètre
Asphyxiées à en pâlir
Nature obscure
Luxure perdure
L'écume des sourds effuse, onguent collant
Offrande aux catins séminales
Luxure suture
Fuis!
L'orifice débordant de vices
L'oratrice moite de nefas embrasse
Ses esclaves, profonde, de sa gorge cilice
Laticlave lisse
Les froides cuisse s'enlisent
Cassent
Les os putréfiés sous
L'aiguille trouble, décharnés
Désir psychique
Douleur physique
Nefas se fait désirer
Vortex noir, l'aube immorale, dépourvoit
Électrise le lèvres rougies de fièvre
Mes cuisse supplient
Sois sans crainte
Je renais aux sombre heures du soir
Sois sans crainte
Je connais le son de ton âme
Tes hurlements arrachés de désir
Du fond de ces mines obscure
Des lagunes diluviennes s'épanchent
Violemment autour de corps
Roi, ce miroir brisé
Renvoit l'image sale, ton reflet
La veru, le pêché mêlés dans nos chairs
Du bois courbe, l'homme de bien, le pervers
Brille, vibre, le fébrile équilibre
Le bourreau docile s'automobile