Votre drame éternel
Se joue au coucher
Au son d'une parade
Asynchrone et misérable
Et fallacieuse
Couverte par un accent infâme
Vos gémissements embrassent
Des convulsions gauchement dissimulées
À force de valser
De l'ivresse au dégoût
De la dévotion à une gueule sèche et amère
Vous vous êtes fourvoyés
À déverser des coulées aqueuses et putrides
D'aversion désœuvrante
Vos sangs s'accumulent
Aux frontières qui sont les vôtres
Bien plus frêles
Semblent elles être
Que lors de vos joutes vicieuses