Hitekk :
Cosmopolis folie communicative, le ciel est bleu j’en fais des copies lucratives, nique les copycats je les porte comme une cicatrice, j’ai l’copyright, les collectionne comme pokémon, une colique unanime d’alcoolique tu t’abîmes et ça se tasse avec l’âge, me classe dans le secteur noisy-le-sec , moi si je vais moisir au sec, je choisis mon cercle, à boire s’il te plait, reste à croire que j’effraie…
REFRAIN (x 2) :
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre…
Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre…
Hitekk :
Fais gaffe à ton verre quand ils trafiquent la tise, ta pute manie la trique,
elle excelle dans l’cannibalisme tribal et phallique, elle salive à l’avance ; c’est une acrobate caritative à l’occaz : combustion spontanée, conducteur depuis tant d’années, des contusions le long des bras, tu prends du plomb dans les jambes et quand tu songes que c’est l’offensive ethnocentrique j’ai l’égo dans l’slip…
NIKKFURIE :
J’ai vu tellement de tremblements de frères, d’effets de serre, de gouttes de sang
versées à terre, de dents de lait dans de l’alu, demande-moi quand je m’amuse !
Des tas de langues en ont abusé, jusqu’aux Landes seuls nos bandits ont « la bande »
sur la thune !
REFRAIN (x 2) :
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre…
Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre…
Hitekk :
L’acétone optimise la nicotine dans une pellicule de kerozen, mon écriture se paie l’honneur d’être une guillotine de cerveaux deads, hi-tekk & nikkfurie serait-ce le nec plus ultra c’est personnel serait-ce le vrai ?
NIKKFURIE :
À coups de perdiems, je perçais ton jersey.
Ton ouïe me cherchait, je berçais ton birthday,
Ton anniversaire mais personne n’est prévenu…
Merde, ce n’est guère une situation incongrue !
Je rêve que je persécute le tertiaire,
mercenaire, pote de Belzébuth et de Fechner.
REFRAIN (x 2) :
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre…
Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre…
NIKKFURIE :
J’étais dans une coccinelle,
quand un auxiliaire de police est venu polluer mon oxygène !
Je décline net mon identité au dé-kis qui m’béquille sec aux ischio-jambiers
pendant qu’son équipier s’éclipse et maquille mon ecchymose en making-of
d’une légitime défense, légitime défense, légitime défense…
Hitekk :
Quand les grosses veines gonflent avec l’afflux de sang , kerozen mon revolver braqué sur les zones érogènes montrez vos nerfs, les clients se paient vos fesses ; c’est ludique la cellulite allez jubile timp !
REFRAIN (x 2) :
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Je te hais plus que tu ne t’aimes !
Je m’aime beaucoup plus que tu me hais !
Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre…
Il n’y a pas vraiment de sujet sur lequel je veux m’étendre…