Perdue
Au loin une maison perdue
Refuge
Le refuge d'une passion émue
La dernière image de la lune
Regarde tous les nuages
Autour de la montagne
Ils s'écartent devant nous
Allez viens retourne-toi
Et tourne autour de moi
Et laisse-les, esseulés
Oh ! Mais pourquoi tu pleures
Des châteaux de couleurs
Les peintres sont devenus fous
Ouh ! Oh ! Oh ! Ouh ! Oh ! Oh !
Ouh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Ouh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
J'entends
Qu'elle respire fort comme le vent
Je sens
Comme des bruits bizarres dans ma tête
Des bruits bizarres dans nos têtes...
Il y a plein de nuages
Autour de la montagne
Ils s'écartent devant nous
Et le vertige d'un encens
Du haut d'une montgolfière
Qui tombe par terre
Il y a des fleurs qui s'agitent
Six filles que tu dessines
Plus personne pour les aider
Yéh ! hé yéh ! hé hé ! ...
Les japonais avec la mort
Ont encore un drôle de rapport
Et les chambres sont vides, les couloirs déserts
C'est le règne d'une maison de verre
Et même quand tu es là, même quand tu es avec moi
J'ai envie de te voir
Et même quand tu es là, même quand tu es avec moi
J'ai envie de te voir
Regarde tous ces nuages
Qui tournent autour de nous
Ils sont comme devenus fous
Allez viens retourne-toi
Et tourne autour de moi
Et laisse-les, esseulés
Et cette vallée est à nous
Il n'y a plus rien à faire
Plus rien, plus rien sauf au loin
Ouh ! Oh ! Oh ! Ouh ! Oh ! Oh ! Ouh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Ouh ! Oh ! Oh ! Ouh ! Oh ! Oh ! Ouh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Ouh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Perdue
Au loin une maison perdue
Refuge
Le refuge d'une passion émue
La dernière image de la lune