Paroles de "C18" Zamdane Lyrics "C18"
[?]
Ah
J'porte la souffrance des miens, d'mon pays natal
J'souris mais j'ai nada, j'ai [?] d'l'amour d'mes deux parents
Les bourgeois m'traitent comme si j'étais un bâtard ('tard)
J'vois des images noires dans mon sommeil, j'fais la sourde oreille
J'écoute les conseils d'mon cœur même si c'est irrationnel
On m'a dit : "Fais attention à chaque pas qu'tu fais"
Si c'est un piège, bah, y a qu'à pas tomber dedans
Si c'est pas un ennemi d'chair qui l'a posé, c'est sûr qu'c'est un frère de sang
Tu peux mieux faire sans
À c'qui p', j'suis un cyborg, il m'faut, il m'faut ma C18
J'avais une grande mif', j'en ai enterré dix-huit
À c'qui p', j'suis un cyborg, il m'faut, il m'faut ma C18
J'avais une grande mif', j'en ai, j'en ai, j'en ai enterré dix-huit
Qu'est-ce qui sépare la misère de la haute ? Plusieurs étages
L'argent fait l'bonheur avec le malheur des autres
Mon cœur pleure, la porte est scellée, j'peux pas l'ouvrir
C'est pas un million net d'impôts qui m'f'ra sourire
Car j'ai vu la mort chez des gens très proches de moi
J'l'ai senti sur mes cotes et [?]
Comment tu veux qu'j't'oublie ? WAllah qu'tu m'a choqué
C'est juste que quand tes pas là, c'est un [?]
On cherche un rayon, postés dans le noir
Dans une cage, je constate que mon âme s'abime
Si jamais on s'en sort, c'est exceptionnel
La lumière n'a jamais atteint les abysses
Elle me réchauffe mon cœur (cœur), yah, j'ai froid dans l'dos (dos)
Dehors, c'est dur, sans pitié, j'aurais pu t'racketter quelques années plus tôt
On vient du , on est jeunes, même ton père peut pas supporter ma vie ado
C'que j'dois à mon Dieu, c'que j'dois à mes frères, jamais j'irai l'donner à d'autres
À c'qui p', j'suis un cyborg, il m'faut, il m'faut ma C18
J'avais une grande mif', j'en ai enterré dix-huit
À c'qui p', j'suis un cyborg, il m'faut, il m'faut ma C18
J'avais une grande mif', j'en ai, j'en ai, j'en ai enterré dix-huit
Ici-bas, chacun s'envole, c'est notre travail qui parle à notre place
Car quand t'es pauvre, t'as même pas droit à la parole
Ici-bas, chacun s'envole, c'est notre travail qui parle à notre place
Car quand t'es pauvre, t'as même pas droit à la parole