Deeday deeday daydeeho, can’t we pray for the sunny light ?
Deeday deday daydeeho, can’t we be jammin’ in all thru the night ?
Deeday deeday daydeeho, can’t we pray for the moonlight ?
Deeday deday daydeeho, can’t we be jammin’ in all thru the night ?
Mes songes pris en quarantaine, ils s’effilochent sous mes pas
Mes poches crevées, ils s’égrainent, d’un chapelet que je n’ai pas
Longue à la longue, la route est longue, la mort peut danser sur les toits
Lune gitane, belle païenne, te souviens-tu encore de moi ?
Haillons d’argent, ta robe longue, enfant, tu m’allumais ma joie
Tu me parlais, s’il m’en souvienne, de tes légendes et au-delà
Dis-moi ce soir, ma souveraine, que d’une ondine je suis aimé ...
Longue est la route de se laisser aller
Longue est la roots de se laisser aller (bis)
Cela fait long, tu fais selon, et ce félon que l’on se porte
Faits d’hiver et l’âme en violon, on écrit sur nos feuilles mortes
C’est en suspens que l’on attend les printemps profiler aux portes
Et voilà l’été, et voilà l’été, et voilà l’été, et voilà l’été ...
Et cette montée des eaux fortes dans cet ici et maintenant
Sont-ce les fées que le vent porte, l’odeur de mon chemin gitan ?
Sont-ce les fées que le vent porte, l’odeur de mon chemin gitan ?
On se dit qu ‘importe, vu qu’on a le temps
On se dit qu’ importe, mais on est haletants ...
Longue est la route de se laisser aller
Longue est la roots de se laisser aller (bis)
Et toute ces nuits où s’opère une sentinelle inachevée
Tu as voulu tuer ton père et retrouver l’éternité
L’inferno à tes saisons, t’as le desdichado des loups man (x3)
Déserte les amis et ne t’excuse pas
Quand le poker est à l’ennui, pour les yeux d’une querida
Mais reviens surtout avec cette carte à jouer ...
Longue est la route de se laisser aller
Longue est la roots de se laisser aller (bis)