Balle perdue #2
Intro
Hugz, t’es en feu sur celle-là
Couplet 1
Yolop bitchies (poulop), j’me fous d’vos critiques (youh) J’me roule un gros blunt couleur Dickies (ha-ha-ha)
J’suis le killeur, Mary Jane c’est la victime (yeah), à cause de sa couleur et d’son odeur addictive (brah)
Ma face à la télé, ma voix dans les enceintes (yeah), sapé en noir et blanc comme un ancien (ouais)
Ta montre au mono-prix d’une Renaud 5, nan ta montre vaut le prix d’un voyage en train (ha-ha-ha)
L’ennemi me sert la main, sa femme me fait du pied, ouais avant j’étais du-per, maintenant j’vais pas m’laisser duper
T’as pas écouté ta mère, ouais bah moi j’vais t’éduquer
J’vais ramener qui-tu-sais, ouais ouais ce soir faut que tu saignes
J’peux t’envoyer dormir comme si j’étais ton père
J’me souviens plus de mes bagarres, j’me souviens plus de mes conquêtes
De toute façon c’est la même, c’est qu’une histoire de corps à corps
Et comme dirait Mekra : “Il faut assumer ton sexe”
Pré-refrain
Hein belek, ne te questionne pas sur ton intellect, t’enlèves ce joint d’tes lèvres et demande-toi pourquoi t’es loin d’tes rêves
Loin d’tes rêves car l’État t’impose sa réalité, il te trouve des défauts dans ce qui peut être des qualités
Hein belek, ne te questionne pas sur ton intellect, t’enlèves ce joint d’tes lèvres et demande-toi pourquoi t’es loin d’tes rêves
Loin d’tes rêves car l’État t’impose sa réalité, il te trouve des défauts dans ce qui peut être des qualités
Refrain
Heureux de vivre, y s’peut que j’meurs demain, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (hein, hein)
Dans la vie, t’as faim quand tu pars de rien, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (hein, hein)
Heureux de vivre, y s’peut que j’meurs demain (yeah), les balles perdues ne demandent pas leur chemin (ouais)
Dans la vie, t’as faim quand tu pars de rien, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (brah, brah, brah)
Couplet 2
La vie c’est une pute, t’es bête, tu crois qu’elle t’aime, après t’avoir tirer dans les jambes, elle tire en pleine tête
Y a des coupables qui s’baladent sur la Terre-Mère (oui), y a des innocents qui prennent perpète
Rien ne tire debout à part mes vertèbres, tu peux caner le jour de ton anniversaire (brah)
Et même si t’as les poches remplis d’espèce, la solitude entraîne une mort quasi-certaine (bête)
On chie du caviar, on pisse du Moët, on porte nos cojones dans des brouettes (ha-ha-ha)
Jamais tu n’atteindras le crew-S (lève la main), on fait la sieste sur le Piton de la Fournaise
Pré-refrain
Hein belek, ne te questionne pas sur ton intellect, t’enlèves ce joint d’tes lèvres et demande-toi pourquoi t’es loin d’tes rêves
Loin d’tes rêves car l’État t’impose sa réalité, il te trouve des défauts dans ce qui peut être des qualités
Hein belek, ne te questionne pas sur ton intellect, t’enlèves ce joint d’tes lèvres et demande-toi pourquoi t’es loin d’tes rêves
Loin d’tes rêves car l’État t’impose sa réalité, il te trouve des défauts dans ce qui peut être des qualités
Refrain
Heureux de vivre, y s’peut que j’meurs demain, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (hein, hein)
Dans la vie, t’as faim quand tu pars de rien, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (hein, hein)
Heureux de vivre, y s’peut que j’meurs demain (yeah), les balles perdues ne demandent pas leur chemin (ouais)
Dans la vie, t’as faim quand tu pars de rien, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (brah, brah, brah)