Si je me réfère à ce qu'on m'avait dit.
Certain vont en enfer et d'autre au paradis.
Ya t-il un vieux barbu couronné de lumière ?
Qui nous attend aux portes et puis qui nous explique,
Comment c'est arrivé le Big-bang et la terre,
Les étoiles, l'amour et la musique...
Si je me réfère à ce que j'avais lu.
Notre âme se détache, s'élève dans les nues.
J'ai l'icône d'Epinal du grand créateur,
Entouré de marmots, joufflus, moitié pigeons,
Une cote d'opale perdue dans les hauteurs,
Où des âmes en attentes sillonnent l'horizon...
Où des âmes en attentes sillonnent l'horizon...
Refrain :
C'est comment là-haut ?
Est ce qu'on est attendu ?
C'est comment là-haut ?
Une chambre avec vu...on a tout entendu...on a tout entendu...
Quelle confession choisir pour le mot de la fin ?
Une fois revêtu des manteaux de sapins,
Sur quel grand traité doit-on se reposer ?
La Bible, le Coran, la Torah qui saura ?
En qui d'autre que moi serais-je réincarné ?
En Clotilde, en Laurent ou en chat angora,
A quel transcendance ? A quel vie successive ?
Aurons nous la chance à l'heure décisive ?
De goûter au bonheur d'endosser les costumes,
D'autres destinés sur des génération,
Dans une vie antérieur ou dans une vie posthume,
Serais-je majorette ou bien dresseur de lions ?
Majorette ou bien dresseur de lions ?
Refrain (x1)
Si je me réfère à ce qu'on m'avait dit,
Je suis né poussière et finirai ainsi,
Au moment odieux d\"penser à l'épitaphe,
Entre tout ce qu'on a pu lire dans les livres,
Le plus fâcheux, le moins cocasse,
Serais de mourir d'un manque de savoir vivre...
Mourir d'un manque de savoir vivre...
Refrain (x1)
On a tout entendu...
On a tout entendu...