Quand le poète, en temps de guerre, de guerre
Contempla la beauté du cosmos étoilé, toilé
Il ne put s'empêcher de verser une larme
Disant au commandant en chef, t'en chef
"Regardez, mon commandant, la beauté du monde"
Quand le comman-man-mandant en chef, t'en chef
Regarda fixement la sentinelle en larmes, larmes
Ému, la fit passer aussitôt par les armes
Disant à l'adjudant en chef, t'en chef
"Trouvez-moi la raison et soyez bref !"
Quand l'adju-dju-djudant en chef, t'en chef
Se mit à réfléchir sur la raison des larmes, larmes
De frayeur, aussitôt, il fit sonner l'alarme
Alors, dans l'ombre, l'ennemi s'écria
"Ils nous ont vus ! Fuyons ! Fuyons !"
Quand le comman-man-mandant en chef, t'en chef
Décora le poète à tititre posthume, thume
Tous levèrent les yeux au ciel
Disant dans leur for intérieur, térieur
"Mort pour la beauté du monde"